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Salon de la Photo à PARIS 2025 ça dis quoi ?

Paris, Grande Halle de la Villette, 9 octobre 2025. Je pousse les portes du Salon de la Photo avec mon appareil en bandoulière, mon drone dans le sac et une envie folle de voir ce qui se fait dans le monde de l’image.

Dès les premiers pas, on se retrouve noyé dans un océan de nouveautés. Boîtiers dernier cri, objectifs lumineux, stabilisateurs qui donnent presque envie de danser avec eux, drones miniatures qui promettent des vues aériennes à couper le souffle. Mais le salon, ce n’est pas seulement du matériel. Il y a des ateliers où l’on apprend à maîtriser la lumière comme un chef, des conférences où les photographes racontent leurs expériences, leurs galères, leurs réussites, et des plateaux de prises de vue où tout est mis en scène pour tester le matériel comme un vrai pro.


Ce qui m’a frappé le plus, c’est de voir que la photographie en 2025, ce n’est plus juste capturer de belles images. Tout le monde veut des histoires, des émotions, des moments vrais. Les photos posées, c’est sympa, mais ce qui fait vibrer aujourd’hui, c’est l’authenticité. Et moi, ça me parle. J’adore raconter des histoires avec mes images, que ce soit en drone au-dessus d’un festival, en vidéo lors d’un événement ou en photo sur un portrait bien senti.


Bien sûr, on entend toujours les mêmes questions : peut-on encore vivre de la photographie en 2025 ? La réponse n’est pas simple. Le marché est saturé, il y a des millions de smartphones qui prennent des photos presque parfaites et l’intelligence artificielle qui commence à s’inviter dans nos images. Mais pour ceux qui ont quelque chose à offrir de différent, qui savent mélanger compétences, créativité et expérience client, il y a encore de la place. C’est là que je me situe. Je ne fais pas que de la photo, je fais de la vidéo, du drone, je crée des contenus complets et j’aime raconter des histoires. Et ça, ça vaut de l’or pour certains clients.


J’ai aussi adoré l’ambiance. Les photographes qui passent, les passionnés qui partagent leurs découvertes, les échanges spontanés avec des inconnus qui deviennent des contacts inspirants. On se rend compte que ce qui compte vraiment, ce n’est pas seulement le matériel, mais le regard qu’on porte sur le monde et la façon dont on le raconte. Et ça, ça ne s’achète pas.


En sortant, mon sac est plus lourd, mon carnet plein de notes et d’idées, et moi, je me sens revigoré. Le Salon de la Photo, ce n’est pas seulement un lieu pour tester des gadgets ou craquer pour le dernier objectif, c’est un moment pour se reconnecter à sa passion, pour trouver de l’inspiration et pour se rappeler pourquoi on a commencé à faire des images.


Alors oui, ça vaut encore le coup d’y aller. Et moi, je repars déjà avec de nouvelles idées, prêt à raconter encore plus d’histoires, avec mon appareil et mon drone à portée de main, et un petit sourire en coin en pensant à tout ce qu’il reste à capturer.